Le Climategate, un tsunami scientifique

Alors que la pensée unique dort tranquillement au Québec, un tsunami ébranle sérieusement le domaine scientifique partout dans le monde.

Des hackers ont en effet réussi à infiltrer récemment le réseau du centre de recherche sur le climat (le CRU : Climatic Research Unit), relié au GIEC (le Groupe International d’Experts sur le Climat) qui a reçu avec Al Gore le prix Nobel de la Paix en 2007. Plus de 1,073 échanges de courriels internes, entre le directeur du CRU, Phil Jones et ses collaborateurs, ont été rendus publics sur Internet. Les scientifiques de ce centre auraient manipulé leurs chiffres afin de démontrer le Réchauffement climatique et l’incidence de l’action humaine sur le climat.

Le fait que Phil Jones ait reconnu les faits et tenté de les amenuiser, ne change en rien que c'est la pire arnaque scientifique de toute l'histoire de l'humanité. Ça a des conséquences énormes sur le débat sur le climat car les réchauffistes qui s'appuyaient sur les rapports du GIEC pour nous vendre leur salade sont dans le néant le plus total. Aucune base scientifique ne peut être actuellement crédible quand elle provient du GIEC. J'aimerais être un petit oiseau pour voir le visage déconfit de Steven Guilbault, le théologien prédicateur qui est en train de préparer ses valises pour Copenhague. Un voyage sur le bras du gouvernement du Québec pour lequel il est le conseiller principal due la Ministre de L'Environnement.

Ce Climategate a de quoi mettre en doute et en veilleuse le projet ministériel dévoilé la semaine dernière et qui va occasionner des sacrifices financiers et des renoncements à certaines habitudes de vie dû au comfort de notre aisance financière.

Déjà les environnementeurs continue à nier et à ignorer que tout a changé dans leur lutte aux moulins à vent. La secte kyotiste vient d'être excomuniée par ces révélations comme quoi on a manipulé les données pour arriver aux conclusions des résumés pour les édcideurs politiques qui arrivaient toujours plusieurs mois avant les études scientifiques. Plusieurs démissions du GIEC de chercheurs chevronnés auraient pu sonner la clochette d'alarme qu'il y a malversation. Au cotraire, les sceptiques qui osaient contredire le GIEC étaient des suppots des pétrolières et comme au temps de l'inquisition, brulés au bûcher de la pensée unique : C'était de apostats...

On apprend que les graphiques de Vincent Courthillot étaient plus vraies que ceux du CRU et qu'il a été immolé injustement sur la place publique pour avoir osé affronter les données du CRU et les contredire. Les réchauffistes contrôlaient les médias et les contrôlent encore pour essayer d'éteindre cet incendie dans leur propre demeure. Car il y a péril en la demeure, toute la théorie du réchauffement est remise en question et les gens ou groupes environnementaux qui vivaient imjustement de cette arnaque du GIEC sont menacés de perdre leur gagne-pain.

Je me rappelle des sages paroles du seul docteur en climatologie que nous avons au Canada, Timothy Ball qui disait : "Croyez-le ou non, le réchauffement global n'est pas dû au fait que l'homme produise du dioxyde de carbone (CO2). Il s'agit là du plus grand mensonge organisé de toute l'histoire de la Science ! Nous perdons beaucoup de temps, d'énergie et de milliards de dollars, tout en provoquant inutilement la crainte et la consternation, à propos d'un problème qui ne repose sur aucune base scientifique."

On ne l'a pas écouté, on préfèere le chant des sirènes de Greepeace, ces activistes financés par des milliardaires qui veulent contrôler le monde et même en diminuer la population.