dimanche 8 novembre 2009

CO2, un mythe planétaire

Christian Gérondeau tente un pari osé : déconstruire le tabou le mieux ancré de notre époque. Pour lui, non seulement il est illusoire de prétendre diminuer les émissions de gaz carbonique, mais il est également erroné de prédire des catastrophes insurmontables. Le seul désastre qui nous guette est tout autre : un appauvrissement conséquent si les remèdes environnementalistes sont appliqués à la lettre.

Christian Gérondeau part d’un postulat simple : il est impensable que les ressources – pétrole, gaz ou charbon – actuellement contenues dans le sol restent massivement inutilisées, car de nombreux pays en voie de développement en ont besoin pour sortir de la pauvreté. Autrement dit, les quantités que les pays industrialisés ne consommeront pas le seront par d’autres : Chine, Inde, etc. Ainsi, les efforts très coûteux accomplis par l’Europe pour limiter les émissions de gaz à effet de serre ne permettront pas, globalement, de faire baisser les rejets de CO2 dans l’atmosphère.

À cet égard, ajoute-t-il, il est paradoxal de constater que les gouvernements qui tiennent les discours les plus alarmistes (la France ou l’Allemagne par exemple) encouragent par ailleurs les efforts pour découvrir et exploiter de nouveaux gisements pétroliers ou gaziers. Quoi que l’on fasse, la concentration de CO2 dans l’atmosphère devrait donc doubler au cours du XXIème siècle.

Y a-t-il lieu de s’en alarmer pour autant ? Fort heureusement, non. Car pour Christian Gérondeau, le lien entre rejets de gaz carbonique et réchauffement est loin d’être évident.

Revenons quelque peu en arrière. Entre 1945 et 1975, les températures ont décru alors que la concentration de gaz carbonique s’accroissait. La majorité des climatologues prédisaient alors un dangereux refroidissement ! De 1975 à 1998, le globe s’est réchauffé. Mais depuis 1998, les températures ont cessé d’augmenter alors que les rejets de CO2 n’ont jamais été aussi importants (depuis 2000, les rejets croissent de 3.5 % par an, contre 0,9 % par an entre 1990 et 2000).

Au cours des cent dernières années, la température moyenne s’est élevée de 0.74°C, c’est-à-dire une variation relativement faible par rapport à celles enregistrées au cours des siècles précédents. De manière encore plus parlante, les courbes des températures et de la concentration de CO2 (exposées dans le livre) ne se superposent pas.

Plus fondamentalement, les discours environnementalistes ignorent la réalité de l’action humaine : le progrès technique, l’innovation ou le rôle des prix qui permettront de permettront de préparer l’après-pétrole et de résoudre d’autres problèmes liés à l’environnement.

Tout au long de l’ouvrage, Christian Gérondeau souligne avec justesse les nombreuses erreurs dont les discours environnementalistes sont truffés. Il détaille « l’arnaque » que constituent les subventions massives dont bénéficient les énergies éolienne ou solaire. Il décrypte le fonctionnement des activistes du climat. Ainsi, le GIEC apparaît-il bien davantage comme un groupement politique aux mains d’ONG écologistes plutôt que comme une organisation scientifique (dont les scientifiques critiques sont presque systématiquement exclus).

Enfin, l’auteur anticipe avec raison les conséquences destructrices des politiques actuellement appliquées ou discutées : protocole de Kyoto, taxation du carbone, accord européen de réduction des émissions, etc. À lui seul, le coût du Grenelle de l’environnement est estimé par les services officiels à 440 milliards d’euros d’ici à 2020 !

La voix dissidente de Christian Gérondeau tranche avec les discours catastrophistes ambiants. Son analyse devrait éclairer les décideurs publics, car si tous les discours dominants étaient appliqués à la lettre – ce qui est parfois impossible car les incohérences et les contradictions y abondent – il en résulterait très certainement un appauvrissement conséquent, une hausse des faillites d’entreprises et du chômage. La France et l’Europe perdraient par ailleurs la compétitivité qui leur fait déjà défaut à l’heure actuelle.

Ce texte est une synthèse du livre "CO2, un mythe planétaire" de Cristian Girodeau, publiée sur le site de l’Institut Économique Molinari par Guillaume Vuillemey, chercheur de cet institut.

14 commentaires:

CItoyen K a dit…

Oh my!!

Tu préfère l'avis d'un polytechnicien, d'une représentante d'un institut économique et des capitalistes Laissez-faire en général a ceux de milliers de scientifiques qui sont tous en désaccord avec toi...

On ne pourra pas continuer avec cette sacro-sainte 'croissance' indéfiniment, nos ressources et surtout, notre atmosphère ne sont ps, infinis, a rejeter 2% plus de merde par année dans notre environnement, tu crois que ca va mener à mieux qu'à pire?

Malheureusement pour toi et ton Hummer,il faut faire marche arrière avant qu'il ne soit trop tard...

À te lire maintenant, je ne suis plus déçu que tu ait perdu tes élections!

Fernand se déchaine a dit…

Citoyen Kaka au cerveau lavé par les médias biaisés...

La lutte aux GES est basée sur des données fournies par le Hadley Center de Londres qui vient d'être piraté par les sceptiques qui viennent de découvrir 72 dossiers et 1079 e-mails démontrant hors de tout doute la supercherie du GIEC. On a faussé des données scientifiques pour alarmer les gens comme vous. Voici ce que le Herald Sun, un journal britannique écrit :

http://blogs.news.com.au/heraldsun/andrewbolt/index.php/heraldsun/comments/hadley_hacked#63657

J'aimerais que Greenpeace en toute transparence nous dire qui lui fournit les 105 millions de budget annuel. Ce n'est pas avec les activistes subventionnés qui payent une carte de membre à 5 $ qu'ils peuvent avoir tant de fonds.

Continuez à suivre le bréviaire de Steven Guilbault, théologien de l'UdeM. il en sait plus que quiconque. Lui ne cherche qu’a se faire subventionner à 100% un édifice de 7 étage dans le centre-ville de Montréal à l’exemple du Centre de l’environnement de Québec.

En passant, vous devriez lire le site de Jacques Brassard, Il parle franchement...

http://blogjacquesbrassard.blogspot.com/2009/11/clowneries.html

Les scientifiques payés grassement par le GIEC suite à un don de Ted Turner d'un milliard peuvent ce qu'ils veulent que les réchauffistes comme vous veulent entendre.

http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/DEV2594.doc.htm

Je crois au Consensus de Copenhague mais pas à la salade de médias québécois.

http://www.copenhagenconsensus.com/CCC%20Home%20Page.aspx

Les milliers de scientifiques sceptiques ne sont jamais passés dans les médias biaisés qu'on a au Québec et pourtant ils ont signé plusieurs pétitions et même ils ont écrit au secrétaire des nations Unies.

http://www.petitionproject.org/
http://www.klimamanifest-von-heiligenroth.de/klimaman-f.html
http://www.canadianbusiness.com/markets/cnw/article.jsp?content=20080422_070503_3_cnw_cnw
http://www.heartland.org/events/NewYork09/sponsorships.html
http://scienceandpublicpolicy.org/commentaries_essays/climate_science_corrupted.html
http://people.iarc.uaf.edu/~sakasofu/climate.php
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article841
http://www.nationalpost.com/most_popular/story.html?id=164002

Fernand se déchaine a dit…

Pourtant je connais autant de scientifiques qui n’osent pas contredire la mode verte de peur de perdre leur budget de recherches subventionné. Pourtant le docteur Richard Z Lindzen, éminent scientifique et ex-membre du GIEC écrivait en 2006 dans le WALL STREET JOURNAL un article intitulé «Climate of fear» qui dénonçait les tactiques des adeptes du consensus onusien envers ceux qui par leur analyse scientifique arrivaient à des conclusions autres que les «officielles». Voici des extraits des affirmations de Richard Lindzen : «Les chercheurs qui refusent l’alarmisme voient leurs subventions disparaître, leur travail décrié et ils sont qualifiés de suppôts de l’industrie, de piètres scientifiques ou pire encore. Pas étonnant dans ces conditions que les mensonges à propos du changement climatique gagnent en crédibilité alors même qu’ils contredisent de plein fouet la science qui est leur fondement supposé.»… . «Seuls les scientifiques âgés peuvent désormais se dresser face à la tempête alarmiste», conclut amèrement Lindzen. «Ceux qui commencent leur carrière ont un choix assez simple entre le conformisme réchauffeur ou la fraîcheur d’un placard.»


Je rappelle qu'à Naïrobi, les délégués ne pouvaient s’entendre pour revoir les objectifs de Kyoto car les données scientifiques étaient jugées insuffisantes. Voici l'extrait du journal le Standard publié par le GIEC: «Some delegates want the protocol that came into effect last year, to be reviewed but others claim that there is still insufficient scientific information to facilitate the review. "There is really a divergence of views … can we undertake the review now … should we undertake the review later… should we start the review now and maybe continue it later and if we continue it later when should we continue it", Yvo de Boer, the Executive Secretary of the United Nations Framework Convention on Climate Change, said.».

Si ça vous choque que des gens ait encore le sens pratique et voient clair à propos de cette arnaque climatique alimentée par un politicien véreux comme Al Gore qui demande 300,000$ pour une conférence, qui est à l’origine de l’arnaque du bogue de l’an 2000 et qui a empoché 200 millions pour son film mensonger, c'est votre problème... Mais saviez-vous qu’il est co-propriétaire de la bourse du carbone de Chicago qui a comme client Monsanto, vous savez la firme des OGM qui rase l’amazonie avec l’aide des crédits carbone de cette bourse pour cultiver du maïs afin que le Brésil devienne le premier producteur mondial d’Éthanol. C’est pourquoi Gore est venu à Montréal pour affilier la bourse du carbone canadienne et rendre par le fait même la sienne internationale.

Quant à mon élection, vous venez de manquer un projet de densification urbaine pour 60 familles dans le centre de Beauport. Je suis un écolo sceptique et pratique et non dogmatique.

Anonyme a dit…

Le raisonnement est portant simple... et pas besoin d'être un grand scientifique pour comprendre ça.

Soit le monde (la Terre) est infini avec des ressources naturelles infinies. Dans ce cas, on n'a pas de problème car on aura toujours ce dont peut avoir besoin pour vivre.

La deuxième possibilité est que la Terre est finie ce qui signifie qu'à la fin on n'aura plus d'espace. À un moment donné, pour construire quelque chose il faudra en détruire d'autres par manque de place. Dans un même temps, ça signifie aussi que les ressources naturelles ne sont pas inépuisables. Ceci signifie que toute la matière première que l'on met au dépotoir est perdue à jamais. Comment pourrait-on dans ce cas ne pas se retrouver à un moment ou il n'y aura plus de ressource.

Dans un monde fini, on ne peut pas utiliser pour un temps infini l'utilisation des ressources. À un moment, il ne pourra qu'en manquer.

Fernand se déchaine a dit…

Mais ce qui est primordial c'est de ne pas s'exterminer nous-même. Je conçois que les ressources non renouvelables ont une fin et qu'il faudra innover comme l'humain l'a toujours fait. Mais adopter des comportements suicidaires et de restrictions non volontaires, je ne suis pas rendu à ce point là...

J'ai confiance au cerveau humain et à sa capacité à régler les problèmes de notre survie. Entre temps, il faut nourrir, abreuver, soigner ceux qui en ont besoin...

Le partage ne semble pas l'apanache des écolos dogmatiques qui se tirent dans le mur du désespoir et de l'intolérance...

Quant à contrôler la nature, c'est utopique car l'homme n'y parviendra jamais...

Anonyme a dit…

Le climategate vous connaissez. On a tripoté les données scientifiques pour nous faire croire que l'apocalypse était à nos portes. Honte au GIEC, àa ses suppots et ses crédules...

Bad Lieutenant a dit…

Fernand a la solution.

On prends pas de risque. On ne fait rien. Au pire, on se trompe et puis quoi? De toute façon, on sera mort arrivé là : autant mieux catapulter les problèmes sur le dos de la prochaines génération.

Faudrait pas toucher à notre petit confort. La Terre est là pour nous servir. C'est un buffet ouvert à tous : on peut consommer comme on veut, des conséquences, il n'y en aura jamais.

Alors autant mieux demeurer inconscients face au destin de notre espèce.

De toute façon, quand ça arrivera, c'est pas nous qui seront là!

Fernand se déchaine a dit…

Entre temps gaspillons temps et argent dans des projets sans lendemain comme les bourses du carbone , le nec-plus-ultra de l'arnaque financière.

C'est pas pour rien que Gore est actionnaire-votant donc propriétaire principal de la bourse du carbone de Chicago. Ce n'est pas pour rien que Monsanto, le roi des OGM, est membre de cette bourse afin de lui permettre d'acheter des crédits pour déforestrer l'amazonie etcultiver du maïs transgénique brézilien et ainsi faire du Brézil le premier producteur d'éthanol. Oui, la religion verte a de ces travers qui ne donnent la nausée. Si au moins ces OGM auraient servi à nourrir le milliard d'affamé actuellement. Vous vous en foutez, votre ventre est plein et vous ne manquez pas d'eau...

Un autre effet pervers des bourses du carbone est que l’Union Européenne se demande que faire des milliards de crédits de pollution non utilisés qui ont été accumulés dans le cadre du protocole de Kyoto par la Russie, l’Ukraine et d’autres anciens Etats communistes de l’Europe de l’est, alors que les législateurs s’inquiètent de la continuité du marché du carbone après 2012. Les Russes ont accumulé quelque chose comme 5 milliards d’unités sur la période 2008-2012, a déclaré un diplomate européen originaire de l’un des plus grands Etats membres. C’est énorme, a-t-il ajouté, expliquant que cette quantité équivalait à l’effort attendu de la part de l’Europe toute entière pour la période 2013-2020 à venir. Comment un pays aussi pollué que la Russie sera exempté de la dépollution grâce au protocole de Kyoto. Expliquez-moi donc ça ??? C'est drôle les activistes de Greenpeace se sont fait foutre à la porte du pays à coup de pied au cul car ils posaient trop de questions sur la construction des oléoducs soviétiques qui ne respectent aucunement l'environnement.

Il est temps de parler des vrais affaires pas des lubies inventées de toutes pièces pour rendre le monde hystérique...

Comment doit-on privilégier votre cause qui coûtera au bas mot pour le Canada seulement 200 milliards de dollars sans nous priver de choses essentielles et de tenter de surnager devant une telle dépense initiée par des données qui s'avèrent maintenant fausses?

Moi je ne suis pas prêt à donner un chèque en blanc à un théologien activiste comme Guilbault qui ne connait rien à la science, ni à un politicien véreux comme Gore qui n'est pas à sa première arnaque car il a trempé dans l'arnaque du bogue de l'an 2000. Il a aussi favorisé la venue et l'exploitation du GLN aux États-Unis et est dans les coulisses de la super fraude d'EXXON, ce courtier en énergie qui avait monté une bourse énergétique pareille à celle du carbone. Du vent quoi !!!

Bad Lieutenant a dit…

Qui parle de chèque en blanc?

Qui parle de donner le pouvoir à Steven Guilbeault.

Le mouvement écologiste a souligné le problème, a souligné la crise. C'est maintenant aux états, aux citoyens, aux entreprises, à prendre le relais. Ce sont eux qui peuvent accomplir les actions nécessaires pour s'assurer que l'humanité ait un avenir viable.

Si vous voulez cherchez toutes les raisons possibles et inimaginables pour vous convaincre, dans votre étroitesse d'esprit, M. Fernand, bien à vous. À trouver des recherche qui réfutent l'évidence, comme ces mêmes chercheurs seraient peut-être prêt à réfuter le fait que la cigarette est mauvaise pour la santé, et quoi encore...

Si vous préférez garder vos œillères bien fermées et continuer à penser uniquement à votre petit confort, à votre petite personne, et bien, continuez.

Fernand se déchaine a dit…

De quel problème parlez-vous. Je suis conscient qu'il y a des changements climatiques mais de là à l'accoler aux ordures ménagères polluantes, je n'y crois pas.

Pourtant le climat se refroidit depuis 10 ans et la pollution humaine n'a aucun effet direct prouvé sur la température sinon un effet négligeable que même le GIEC reconnaît.

Les écolos se servent des îlots de chaleur urbain (ICU) pour étayer la thèse du réchauffement au Québec. Ces « Bulles de chaleur » sont induites par le croisement de deux facteurs :
1) des activités humaines plus intenses et surtout concentrées dans les villes.
2) l'urbanisme qui fait de la ville un milieu qui absorbe plus de calories solaire que ne le ferait le milieu s'il était resté naturel ou cultivé. Les surfaces noires (goudron, terrasses goudronnées, matériaux foncé, et nombre de bâtiments vitrés se comportent comme des capteurs solaires ou des serres, qui renvoient ensuite le rayonnement solaire absorbé sous forme de rayonnement infrarouge qui réchauffe l'air urbain.

Le fait qu'ils sont localisés défait la thèse du réchauffement global. Il s’agit de mettre de la verdure même sur les toit pour changer la donne. On n'a pas besoin d'une bourse du carbone ou de taxes sur le pétrole pour ça.

Certains auteurs ont estimé que la pertinence des données climatiques considérées comme des indices de réchauffement climatique étaient biaisées par les ICU, tout au moins si on les attribue entièrement à une cause telle que l'émission de gaz à effet de serre[1].

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat a, sur la base d'une Lettre à Nature de 1990[2], conclu dans son troisième rapport, que leur effet ne pouvait excéder 0,05 degrés Celsius au niveau mondial.

[1]. Warwick Hughes [archive]
[2]. The Jones et al 1990 Letter to Nature: a rebuttal of some key points [archive)

Il est intéressant que c'est le même expert du GIEC qui est au centre du Climate Gate.

Faudrait essayer d'être plus rationnel dans votre argumentation Bad Lieutenant. Jusqu'ici, les preuves scientifiques qui vous appuient sont démasquées dans le Climate Gate.

En passant le GIEC subit un blizzard tellement gros que Phil Jones a démissionné et le GIEC enquête sur la question. Cet organisme fortement subventionné de l'ONU (a reçu 1 milliard de Ted Turner: voir lien ci-dessous). Selon les informations qui circulent, le GIEC aurait versé 100 millions au CRU de l'Université d'East Anglia pour ses recherches. Tout ça pour avoir des données falsifiées ce qui avilit la science elle-même : le Climate Gate.

http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/DEV2594.doc.htm

La tricherie ne sert jamais son maître, vous devriez savoir ça...

À l’avenir amenez des études non truquées pour argumenter. Entre temps , nous les sceptiques, on fréquente Climat Sceptique, le seul site francophone présentant toutes les données scientifiques du débat climatique.

http://climat-sceptique.over-blog.com/

Bad Lieutenant a dit…

Pensez ce que vous voulez. Si vous avez raison et qu'il n'y a rien qui se passe, alors tant mieux.

Mais si vous avez tord, et que l'humanité, à moyen terme, cours à son extinction, alors on n'aura qu'à pointer des gens comme vous et dire "C'est de leur faute, ils ont cherché toutes les raisons possibles et impossibles pour ne rien faire, ils ont trouvé toute les manières possibles et impossibles de réinterpréter les faits, ils ont été démagogues, malhonnêtes, et, même s'ils n'ont jamais été en mesure de prouver HORS DE TOUT DOUTE que le problème n'existait pas, les gens les ont crus car il était plus facile d'être paresseux."

Et, en toute honnêteté, ce que vous amenez ici n'est pas en mesure de faire la preuve HORS DE TOUT DOUTE que les changements climatiques ça n'existe pas. L'hypothèse concernant les changements climatiques est beaucoup mieux étayée, par des sources beaucoup plus crédibles, et ce n'est pas quelques courriels privés qui vont changé le tout.

Cela dit, et je concluerai là-dessus, M. Fernand, laissez donc l'héritage que vous voulez à vos enfants, à leurs enfants, et aux enfants de leurs enfants.

Fernand se déchaine a dit…

Bad Lieutenant, il y a toujours eu des changements climatiques depuis que la terre existe. Vouloir culpabilitser l'homme de ces changements est autre chose.

Je crois qu'on gaspille temps et argent inutilement.

Si on mettait autant d'argent dans la recherche pour trouver des énergies renouvelables à prix abordable et en volume suffissant, on s'en porterait mieux.

Actuellement, l'urgence est qu'un milliard d'humains crèvent de faim, de soif sans eau potable, meurent d'épidémie faute d'hygiène ou de soins adéquats.

Je préfère l'approche du Copenhagen Consensus Center qui a établi les priorités autrement que les alarmistes.
http://www.copenhagenconsensus.com/CCC%20Home%20Page.aspx

Timothy Ball disait en février 2007 ceci : "Le réchauffement global, tel que nous l'imaginons, n'existe pas. Et je ne suis pas le seul à essayer d'ouvrir les yeux aux gens, pour qu'ils voient la vérité. Mais bien peu écoutent, malgré le fait que j'aie une expérience approfondie dans ce domaine, surtout en matière de reconstruction des périodes climatiques de l'Histoire, et aussi en matière d'impact des changements climatiques sur l'Histoire des hommes et sur la condition humaine. Peu écoutent, bien que je sois titulaire d'un Doctorat en Sciences de l'Université de Londres, et que j'aie enseigné la climatologie à l'Université de Winnipeg. Pour un certain nombre de raisons (en fait, pour beaucoup de raisons), le monde n'écoute pas. Et voici pourquoi.

"Croyez-le ou non, le réchauffement global n'est pas dû au fait que l'homme produise du dioxyde de carbone (CO2). Il s'agit là du plus grand mensonge organisé de toute l'histoire de la Science ! Nous perdons beaucoup de temps, d'énergie et de milliards de dollars, tout en provoquant inutilement la crainte et la consternation, à propos d'un problème qui ne repose sur aucune base scientifique. "

"Aucun être humain sensible ne cherche le conflit, surtout avec des gouvernements. Mais si ne nous ne recherchons pas la vérité, nous sommes perdus, en tant qu'individus ou en tant que sociétés. C'est pour cela que je continue à dire qu'il n'existe aucune preuve que l'activité humaine soit responsable du changement climatique. Comment donc la monde entier en est venu à croire ce mensonge ? " "C'est peut-être pour la même raison qu'il y a 30 ans, lorsque nous avions considéré que le refroidissement global était la plus grande menace pour l'humanité : c'est une question de foi ! "

Bad Lieutenant a dit…

Je ne vois pas dans les éléments que vous me donnez qu'il y a là démonstration hors de tout doute.

Vous plantez un doute, mais le seul fait de planter un doute n'est pas en soi gage de vérité.

Encore une fois - si votre démonstration prouve, hors de tout doute raisonnable, que nous n'avons pas à nous soucier des changements climatiques et que l'homme n'a, en rien, besoin de changer ses habitudes de surconsommation à outrance, alors, je suis bien prêt à vous croire.

Pour l'instant, tout ce que vous nous présentez, ce sont des hypothèses qui n'ont, jusqu'à présent, pas été suffisamment étayées pour être vérifiables et qui ont, par ailleurs, nombre d'études qui peuvent les contester.

Fernand se déchaine a dit…

Je suis tanné du fameux principe de précaution que vous invoquez à tout vent.

La science se nourrir du questionnement or les réchauffistes nous disent que l'affaire est entendu que c'est prouvé et l'on ne doit pas douter. Alors ce n'est pas de la science mais une croyance, un dogme.

Pourquoi les chercheurs du CRU n'ont jamais voulu publier leurs données brutes comme d'autres scientistes le font entre eux pour confronter leurs théories? Pourquoi ont ils "delaté" leurs données si elles étaient si importantes et véridiques ? Est-ce pour cacher leur manipulation ? Il semble que les 1079 e-mail tendent à le démontrer.

Le prof Michael Mann qui est à l'origine du bâton de hockey repris dans le film de Gore a été contredit par des scientifiques qui eux n'ont pas eu peur de fournir au GIEC leurs données afin de prouver leur théorie. Par après le GIEC dans son dernier rapport a enlevé le bâton de hockey, Pourquoi ???

http://climat-sceptique.over-blog.com/11-categorie-505065.html

Dans cet autre article pris sur le même site on cite une étude de Phil Jones du CRU (Jones P.D., A. Moberg (2003), Hemispheric and large-scale surface air temperature variations: an extensive revision and update to 2001, J. Clim., 16, 201-223. )prouvant que le réchauffement n'est pas global. Comment le GIEC et vous pouvez vous parler de réchauffement global alors que même Jones parle ainsi :
"Pour ces deux périodes, les moyennes hémisphériques et globales montrent un réchauffement significatif. Malgré cela, les tendances significatives en températures ne sont présentes que dans 10-20 % des grilles disponibles".

Seul Al Gore et ses adeptes parlent du réchauffement global même pas les scientifiques réchauffistes comme Phil Jones. Disait il la vérité à ce moment ou il manipulait les données encore une fois ???

http://climat-sceptique.over-blog.com/9-categorie-505065.html